DANZ ? Parce que la danse que j’aime est issue du spectacle vivant qu’est la vie et ce nom m’est venu naturellement en pensant au Tanztheater de Pina Bausch. DANZ, c'est ma danse, mon histoire avec la danse. Le mot est venu et je l’ai gardé. Tout comme j’ai gardé l’envie, le besoin, l’impulsion de poursuivre un travail perpétuel sur le mouvement, une recherche et une obsession qui ont construit mon travail de peintre et de plasticienne depuis au moins 10 ans. C’est un défi que de travailler u1
DANZ ?
Parce que la danse que j’aime est issue du spectacle vivant qu’est la vie et ce nom m’est venu naturellement en pensant au Tanztheater de Pina Bausch.
DANZ, c'est ma danse, mon histoire avec la danse. Le mot est venu et je l’ai gardé.
Tout comme j’ai gardé l’envie, le besoin, l’impulsion de poursuivre un travail perpétuel sur le mouvement, une recherche et une obsession qui ont construit mon travail de peintre et de plasticienne depuis au moins 10 ans.
C’est un défi que de travailler un corps qui bouge. Moi qui en dépit des apparences suis d’une nature plutôt pudique, j'aime scruter la chair, l’énergie, le souffle de la vie. Humains, animaux, même combat, nous respirons le même oxygène.
DANZ, c’est la transe, la fragilité, la folie, la sensualité, le rythme, la poésie.
Une solide architecture qui me construit tout comme la musique et la peinture que je me contente de pratiquer comme une toilette quotidienne, remède au spleen, plus efficace qu’un Lexomil ou qu’une bouteille de Whisky.
DANZ, c’est la liberté d’une peinture fragile comme un trait de fusain, poussière noire et volatile, et forte comme un bloc de granit.
DANZ, c’est un espace qui m’est offert pour m’amuser, la transpiration de la performance que je propose en compagnie de deux chorégraphes , de trois musiciens et d'une photographe, une forme vivante qui me démange depuis des années et que je m’autorise à expérimenter cette saison.